Achète-moi des fleurs

J’ai toujours eu un très grand respect pour ceux qui écoutent leur coeur, comme l’on dit.

Ceux qui ont jamais eu peur de dire ce qu’ils pensent tout haut (ou tout bas), même si ça fait partie de l’opinion impopulaire.

Ceux qui inspirent la vérité juste d’un regard.

Ceux qui respirent le changement de toutes les façons.

Écoute, je leur jette des fleurs des yeux.

Les regardants marier corps et âme de manière à ce qu’on ne voit qu’eux.

Assez fort de refuser d’être qui ils ne sont pas et de crier à l’injustice.

J’ai toujours eu ce côté caché, moi aussi.

Toujours été trop gênée de dire quoi que ce soit par peur de jugements et manque d’une force certaine.

Récemment, je me suis coupée les cheveux et bizarrement, je suis devenue celle qui parle et qui ose.

Je suis devenue moi.

Aujourd’hui, j’ai fait ce que j’admirais chez ces gens.

Aujourd’hui, j’ai quitté ce qui me tuait de l’intérieur à petits feux depuis quelques temps.

Partir sans crier gare car les convictions ne te plaisent aucunement.

Partenaire dans l’oubli, j’ai choisi la sortie.

Achète-moi des fleurs, mais pas n’importe lesquelles.

Achète-moi celles qui sentent la liberté.

(Ma tête veut éclater)

À toi qui ne me connait pas et me juge sans savoir, j’aimerais que tu comprennes ce dont je viens te parler.

Ceci m’est venu de quelques réalisations que j’ai fait ces derniers temps en m’asseyant face à moi-même.

Je peux te dire que ça n’a pas été facile.

Au début, je n’osais même pas croiser mon regard.

Et puis, j’ai commencé à sortir tout ce qui me brûlait de l’intérieur depuis des mois et lorsque les cendres sont tombés, j’ai compri.

Je m’automutile l’esprit d’une façon telle que je fais tout pour faire ce qui est mauvais pour moi.

Cher toi, je connais très bien tes petites tactiques pour me faire tomber.

Mon esprit en état sain les éviteraient facilement, mais mon automutilation personnelle fait que j’y saute à pied joint.

Une autre manière de me jetter en bas en espérant ne pas me relever cette fois-ci.

Cher toi, tes moqueries me font mals, mais je peux te guarantir que ce n’est rien à côté de ce que je perçois de moi.

Quand ma tête passe son temps à s’auto crier les plus grandes insultes que personne ne devraient supporter et que j’attend sagement le moment où mon corps va lâcher.

La question est toujours la même: Pourquoi suis-je toujours debout?

Cher toi, tu me donnes en fait la raison qu’il me manquait.

Le sourire que tu vois n’est que peinture que je commence à avoir du mal à tracer.

Je tiens, mais pour combien de temps encore?

Le truc, c’est que tu m’aides un peu à ressortir le bien et à le transformer en mal.

Je ne me suis jamais connu comme cela, mais, cher toi, tu m’accentues de jour en jour.

Je suis une solitaire et se n’est pas pour aucune raison.

Je ne suis plus rien.

Cher toi, tu es malsain.

Et lorsque tu crois que ce n’est rien, dis-toi c’est plus représentatif pour d’autres.

Parce que, cher toi, tu vas la perdre cette personne que tu ne connais pas et que tu juges sans savoir.

Parce que, cher toi, pendant qu’elle t’entends rire, elle pleure en se coupant l’intérieur un sourire collé aux lèvres.

Parce que sa vie n’est plus prise au sérieux.

Et elle s’en fout elle aussi.

Et tout ça pour elle n’est plus qu’un mauvais jeu auquel elle veut mettre fin.

Cher toi, je ne suis jamais en colère.

Tu as par contre réussi à me faire éclater depuis longtemps.

Mais je revire tout contre moi-même.

Parce que je commence sérieusement à tomber.

Et je n’aime pas le fait que ça me plaît.

À toi, jolie jeune femme.

Jolie jeune femme.

Jolie jeune femme au sourire brisé.

Peux-tu me dire ce qui ne va pas?

Je sais. Tu ne diras rien.

Tu vas garder silence, car les oeuvres d’arts ne parlent pas.

Les jolies jeunes femmes comme toi ont peurs du bruit.

Elles observent les détails et se laissent du même coup relooker.

De haut en bas.

Un peu trop à certains endroits…

Mais non, personne n’a rien vu.

Mais non, personne ne parlera.

Oh non, jolie jeune femme, car tu « sers à ça ».

Laisse-moi te murmurer une chose à l’oreille.

Tu es loin de « servir à ça ».

Tu n’es pas le « buffet » de ta beauté extérieure, auquelle, j’en suis sûre, ta beauté intérieure peut facilement se mesurer.

Tu n’as pas à être la victime d’une société encrée sur l’apparence.

Jolie jeune femme au sourire diamant.

Jolie jeune femme aux yeux charmants.

Jolie jeune femme qui se fait relooker la poitrine, même si celle-ci est cachée sous un gilet col roulé et qui voudrait être tout sauf qui elle est…

Jolie jeune femme qui se fait saisir une fesse en passant sur le chemin et qui ne demandait rien d’autre qu’un simple sourire en retour et qui maintenant détourne le regard, car elle a peur de ressentir à nouveau le sentiment de danger…

Jolie jeune femme qui ne se sent plus rien après qu’un homme lui ai volé ce qu’elle avait de plus beau et de plus précieux à donner. Dans l’amour… Mais ce n’en n’était pas…

Et l’inondation de larmes sur son visage en témoigne.

Et la peur dans ses yeux aussi.

Comme toutes ces jolies jeunes femmes aux sourires brisées.

Elles enfilent leur plus belle carapace et continuent leur marche.

Elles ne sont pas victimes, mais battantes.

Et voici mon message:

D’une jolie jeune femme à une autre jolie jeune femme.

Tu as besoin de crier les dégats.

Alors, viens!

On va parler et les larmes coûleront si elles ont à coûler.

Et sâche surtout que ton côté batante te rend, jolie jeune femme, plus forte que jamais.

Célibat et amour passé date

Je suis de base une personne qui ne tombe que très rarement en amour. 

On me demande souvent pourquoi je suis célibataire.

J’ai deux réponses:

1- Je suis une solitaire qui ne fait confiance à personne, donc bonne chance pour me faire tomber en amour.

2- Je ne suis pas dans le moule que notre société chéri tant, donc, malgré le fait que cette chère société nous dit d’être nous même, je me fais juger à 100 000 à l’heure avec ma marginalité, parce que ce qui diffère est détesté. Bref, on me prend pour une foutue folle. 

Ça fait un sacré moment que je vis dans mon mode de célibat et je ne m’en plaint pas. 

Justement, j’aimerais parfois qu’on me laisse tranquille avec ça. 

C’est pas parce que j’ai 20 ans que je dois avoir trouvé l’amour. Je ne comprend pas la presse.

Okay, oui. J’avoue ressentir un petit pincement au coeur lorsque je vois des petits couples heureux qui durent, des familles qui se forment, etc…

Mais je me dis aussi qu’il y a les bas que je ne vis pas et ça c’est bien.

Il y a les émotions de l’autre que je ne ressent pas et ça aussi c’est bien.

Je ne vous cacherai pas que mon coeur sensible a besoin de quelqu’un qui lui enlèvera quelques kilos de briques pour lui faire voir la lumière avant qu’il soit peut-être (et je dis bien « peut-être ») capable de tomber en amour à nouveau.

Je ne crois pas aux contes de fées. Je crois par contre en ce que l’humain est capable de créer de beau quand il le veut.

Je ne suis pas le type de tous. 

Tu n’es pas le type de tous.

C’est bien comme ça. Vraiment.

Alors, à tous ceux qui court après l’amour, vous le faites fuir. Arrêtez de chercher.

Pour vrai, passer d’un poisson à un autre, c’est pas mieux non plus.

« Vaux mieux être seule que mal accompagnée. »

Je vais continuer de me répéter ça jusqu’à ce que je sois assez importante pour quelqu’un pour qu’il essaie de me faire croire que l’amour, c’est pas du gros n’importe quoi.

De toute façon, ça ne regarde que moi pour l’instant.

Aide recherchée pour dictionnaire souillé.

Salut.

J’ai un truc à te demander.

Pourrais-tu m’aider à trouver la définition du bonheur?

Je ne sais pas pourquoi, peut-être que je passe à côté, mais je ne la trouve plus.

Peut-être que mon dictionnaire est passé date.

Il prend la poussière depuis un bout. Les pages noircissent. Rien de bien encourageant de ce côté-là.

Écoute, je l’ai même amené chez le libraire qui, après m’avoir regardé avec un drôle d’air, a été alarmé par la situation.

Mon dictionnaire aurait complètement perdu la boule. Il serait dans un autre univers pas vraiment rempli de beaux mots pour lui.

Un univers tellement noir que l’encre commencerait à effacer ces plus belles définitions.

Vous comprendrez alors pourquoi je m’inquiète!

Il ne différencie même plus fleur de pleur!

Et les pages tombent en morceaux. Il n’est plus vraiment en santé.

Sa situation semble dégénérer rapidement.

Je dois avouer que ça me fait peur.

Et je la cherche toujours la définition du bonheur pour lui lire le soir avant de dormir, mais mes mains tâchées d’encre ne peuvent plus faire grand chose.

Alors, si quelqu’un au grand cœur aurait son dictionnaire à me prêter, sachez que l’aide ne sera pas de refus.

Parce qu’à force d’essayer et de tomber, on finit un jour par ne plus se relever.

La fille sans visage

Connaissez-vous l’histoire de celle que vous ne connaissez pas?

Vous savez, cette fille qui depuis sa plus tendre enfance reste le plus grand des mystères aux yeux de tous sans qu’ils ne le savent vraiment en fait.

Elle ne porte pas de masque. Vous pensez tout simplement la connaître, mais c’est justement quand vous le penser que vous avez tout faux.

Elle vous connaît surement plus que vous même ne vous connaissez.

Comment? Par observation, car elle adore les détails.

Tout a un histoire pour elle.

Elle est une panoplie d’histoires à elle seule si quelqu’un regarde ces détails, mais personne n’ose le faire.

Pourquoi? Craintes, peut-être?

Et personne n’ose croiser son regard, car elle plonge à l’intérieur du votre comme si elle y lisait tout.

Pourtant, elle est loin d’être méchante ou autre.

Elle passe la plupart de son temps à sourire et rire et l’autre majorité à aider ceux qui en ont besoin.

Alors, pourquoi est-elle persuadée d’être un monstre?

Pourquoi se déteste-elle autant si elle a toutes les raisons du contraire?

Pourquoi accepte-elle d’aider les autres,  mais refuse-elle de comprendre que parfois, elle aussi ne va pas bien?

Elle n’y voit aucune pertinence.

Alors, vous voulez savoir son problème? C’est une battante.

Elle ne veut jamais arrêter, même lorsque le combat lui est rendu presque impossible.

Elle continue d’avancer. Encore et encore.

Pendant ce temps, son état se dégrade.

Arrivée face au miroir de la dure réalité, elle voit son corps qui ne semble avoir plus qu’os et peau.

Malgré tout, elle rit.

Elle crache sur son reflet et continue  d’avancer.

De jours en jours, elle a de moins en moins d’énergie.

Le poison qui hante ses veines est persistant.

Alors, elle continue tout de même à avancer en rampant jusqu’au jour où elle se dit qu’elle a peut-être un minimum d’importance elle aussi. Qu’il est temps de se reposer.

Mais combien de temps cela va durer? Je ne sais pas.

Parce que cette seule penser qu’elle aurait peut-être elle aussi de l’importance lui donne nausée.

Mais elle est forte. C’est un combat de tous les jours, mais elle a appris à se battre au fil du temps.

Je pense que vous aurez compris que j’aurais pu écrire à la première personne à la place de la troisième.

En effet, je ne m’aime pas. Je pense que je suis un monstre et tout ce qu’il y a de pire, même si ce n’est pas vrai.

Vous aurez aussi compris que je suis dans une période de ma vie où j’ai accepté de prendre soin de moi.

Malgré tout, je reste la mystérieuse alienne que personne ne connait réellement et ne connaîtra jamais et je peux vous dire que c’est surement mieux comme ça.

En espérant vous avoir fait comprendre certaines choses sur moi.

J’aime bien que tu ais pris le temps de lire.

Merci.

Arrête de jouer avec tes flèches et soigne tes blessures.

Salut cher toi,

J’espère que tu te rappelles de moi.

Un peu, du moins.

Tu sais, on voyait chacun comme un tout complétant l’autre.

Je me rappelle de tous les beaux moments.

Et des moins beaux aussi…

Je me rappelle surtout de ton manque flagrant de prise de responsabilités qui a fini par mener à la perte de l’autre.

Je me rappelle encore plus de t’avoir tiré les mots de la bouche.

Je me rappelle de la douleur, de la noirceur, de cette sensation de perte et de manquement qui encore aujourd’hui me pèse.

Mais je ne peux rien y changer et je ne veux sincèrement aucunement.

C’est sur que je m’ennuie de certaines choses.

Que je repense avec nostalgie à certains moments ou certaines attentions que tu avais pour moi.

Tu me voyais comme quelqu’un de magnifique, ce que je n’avais jamais perçu de moi.

Tu comprendras pourquoi j’eu l’impression de tout perdre sur le coup.

Mais comme tu le sais et que je le sais, je suis la force incarnée, alors, j’ai vaincu ce que j’avais à vaincre.

Pas toi, à ce que j’ai cru sentir et remarquer.

Je ne sais pas si tu as du mal à m’oublier ou quoi que se soit.

Je ne sais pas ce que tu deviens.

Je ne suis plus au courant de tes réussites et défaites, même toutes petites.

Tu ne me donnes plus de nouvelles malgré le fait que tu m’avais promis le contraire.

J’ai peur pour toi.

Je m’en fous d’apprendre que tu es rendu avec qui que se soit d’autre.

Personnellement, je suis passée à autre chose et je veux être avec quelqu’un qui n’aura pas honte de parler de moi. De prendre ses responsabilités. De fonder quelque chose de sérieux avec moi.

Je pense valoir la peine d’être prise au sérieux.

Ça serait te mentir de te dire que je ne t’en veux pas.

Mais je t’en veux surtout d’espérer de me faire croire des choses auxquelles tu sais très bien que j’y vois le véritable visage.

Tu le sais que j’ai raison et c’est ça le pire.

Enlève-toi la flèche du cœur.

Surtout quand c’est toi qui te l’a tiré.

 

Attrape-moi la main ou laisse-moi partir avec le vent

J’ai parfois de la difficulté à me rappeler si j’existe ou pas.

Ou plutôt, si je devrais ou pas.

Pas que je ne veuille pas, mais j’ai l’impression que la vie se lasse de moi et m’envoie des tonnes de choses pas très joyeuses pour me le faire comprendre.

J’ai pas peur d’escalader d’autres montagnes.

Tout simplement, à un certain moment, j’en ai eu ma dose!

Et, en ce moment en fait partie.

Je trouve ça dure être moi.

Ça aurait été plus simple d’être quelqu’un de qualifié de « normale » que d’être un « mystère » ou comme je préfère le dire, un « alien ».

Vraiment, je ne viens pas de la bonne planète.

Je vois trop, je pense trop, je « suis » et « feel » beaucoup trop.

Je ne suis pas cette fille « normale ».

On me comprend juste pas!

Et je ne dis pas me comprendre plus.

Par contre, je ne suis pas une erreur de fabrication.

Je fonctionne tout simplement différemment.

Je pense que je suis, en effet, très complexe, mais que je suis un beau mystère.

Enfin, je l’espère.

À toi d’en faire la découverte, mais s’il te plaît, ne t’amuses pas simplement à briser ce qu’il m’a pris des années à construire et entretenir, parce que je ne suis pas cette fille « normale ».

Si c’est le cas, tu n’as pas cogné à la bonne porte et je pense avoir été assez claire là-dessus.

Alors, attrape-moi la main si tu me vois flotter dans l’univers.

Parce que je suis encore perplexe de ma propre existence.

 

 

#Loveislove quand tu juges qu’il a droit d’être

J’ai besoin de te parler de quelque chose qui, depuis quelque temps, me trotte dans la tête.

J’ai besoin de te parler de quelque chose qui me choque.

J’ai besoin de te parler d’amour et de jugements.

J’ai surtout besoin que tu comprennes ce que je vais te dire ici et que tu y réfléchisses.

Parce que ça l’a plus de bon sens.

Parce que c’est rare que je me fâche et que là, oui, je le suis.

Tu connais surement le fameux mouvement #Loveislove .

Celui qui parle d’amour pour tous les sexes, genres, âges, races, etc.

Oui? Et bien, c’est de lui que je veux te parler.

Écoute, je suis loin d’être contre ce mouvement.

En fait, je le prône plus qu’autres choses.

Par contre, j’ai cru remarquer quelque chose.

La majorité des gens qui l’utilise en oublie le sens propre.

#Loveislove qu’ils disent?

Moi, je crois justement que c’est ce qui est dit et non appris ou même encore mis en exécution.

La majorité des gens ont oublié d’ouvrir leur esprit à la diversité.

C’est facile à dire que tu es « open mind » et que tu acceptes l’amour comme il est quand tu te contredis tout d’un coup en voyant une personne connue de toi ou pas vivre un amour qui diverge de celui qu’on t’a appris.

On devrait être rendu dans un monde beaucoup plus ouvert à toutes diversités à la place d’être enfermé dans un moule.

On devrait arrêter de vouloir ramener dans celui-ci tous ceux qui en sont différents.

C’est ça qui est laid et non ceux que tu juges en osant dire que tu prônes ce mouvement.

Tu crées la peur à la place d’ouvrir tes bras à un monde en couleur.

C’est quoi, on doit vivre chaque amour caché maintenant de peur que quelqu’un juge celui-ci incorrect?

L’amour sera amour lorsque le monde acceptera d’ouvrir son esprit et son cœur à la diversité.

 

L’ère de la technologie amoureuse

Je sais pas si vous êtes comme moi, mais je m’ennuie du temps où l’on devait tout faire pour conquérir le cœur de la personne qui nous faisait craquer.

On essayait de tout faire pour que celle-ci nous remarque, même si ce n’était pas toujours concluant et que l’on avait le cœur en miette.

C’était beau.

C’est peut-être mon cœur de grande romantique « kistch » qui parle aussi.

Personnellement, je préférais amplement recevoir un petit papier avec des morceaux de mots maladroits écrit dessus qu’un texto automatique sûrement écrit à son ex auparavant, parce que ça l’avait fonctionner pour elle.

On est rendu à l’ère de la technologie amoureuse.

On fait plus aucun effort!

On s’inscrit sur Tinder ou autres réseaux de rencontres afin de  swiper right et de, peut-être rencontrer la perle rare… Ou l’histoire d’un soir.

C’est triste! Ça me dégoûte!

Je ne nie pas ne pas être là-dessus moi aussi, mais plus par espoir de rencontrer quelqu’un comme moi qui va me demander de se voir en vrai et de lâcher son téléphone afin de vivre une vraie histoire d’amour qui mènera je ne sais où.

Parce que, on s’entend, sur ces réseaux-là, il y a des tonnes de « faux-espoirs », comme j’aime les appeler.

Tu sais, ceux qui te font croire que tu seras celle qui leur fera voir la vie en rose et qui finalement te brise le cœur, parce qu’il ont trouvé « mieux ».

Ou ceux encore ceux qui prennent ton corps pour un petit objet d’une utilisation.

J’en ai entendu des tonnes d’histoires et j’imagine que toi aussi.

Mais je suis une personne qui espère toujours.

Et de plus, aujourd’hui, on essaie plus de se battre pour ce que l’on veut.

On lâche prise, parce qu’on se dit que ça ne vaut pas la peine et on retourne sur ces réseaux où rencontrer est tellement facile.

Je ne sais pas si ma perle rare se trouve sur un de ces réseaux ou ne préfère pas, car, comme moi, elle n’y voit aucune véritable utilité.

Je pense que la vie est bien faites et qu’elle fera que nos chemin se croise.

Parce que je suis un peu rêveuse sur les bords.

Parce que j’y crois au vrai et grand amour.

T’es où qu’on se construise ensemble quelque chose de beau et d’unique?